L’amour peut naître à n’importe quel moment. On peut par fois le traiter de contre nature. Quand on fini par avoir des sentiments pour son psy lors d’une thérapie, quels sont les bons réflexes à avoir ? A travers ce petit guide, découvrez les meilleures attitudes à avoir !
Il n’est pas rare d’entendre dire : « J’ai des sentiments pour mon psy. » ou encore, « Je suis amoureux (se) de mon psy. ». L’homme comme la femme n’a pas fini de livrer ses mystères. Prenons l’exemple d’une femme qui décide de consulter un psy après un divorce ou une rupture amoureuse afin d’obtenir de l’aide. Assurément, le spécialiste sera à l’écoute de son patient. Or, dans les circonstances décrites, toute personne a besoin de se sentir écoutée, protégée et en sécurité. Ainsi, sans peut-être le vouloir, on peut développer des sentiments pour son psy puisque les conditions sont favorables.
D’un autre côté, les experts de la psychanalyse parlent de « Transfert ». Ce terme est employé pour désigner le fait de transférer sa conduite émotionnelle sur une autre personne. Pour l’individu soumis à une thérapie chez un psychologue, ce spécialiste est un candidat idéal auquel il peut transférer sa conduite émotionnelle aussi facilement. Tomber amoureux (se) d’une personne dont on a l’impression qu’elle comble notre manque affectif arrive le plus souvent. Mais, puisque vous êtes là pour une thérapie, est-ce convenable de se laisser guider par ses sentiments ?
Doit-on obéir à ses sentiments ou plutôt les refouler ? Pouvons-nous concilier thérapie et amour ? Quelqu’un a déclaré ceci : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois, soit il haïr l’un et il aimera l’autre. ». Refouler ou ignorer ses sentiments ? Toutes ces questions méritent une réponse claire et précise. Il est essentiel de parler de vos sentiments à votre psy pour votre bien. Il saura apporter des réponses justes et vous aider de la meilleure des façons. Toutefois, il ne semble pas facile de le dire à son psychologue. La peur d’être rejeté ou de devoir subir encore des souffrances.
Abordez le sujet avec votre psy de la manière la plus simple. Ne cherchez pas à passer par des détours. La tâche du spécialiste n’est pas de vous blâmer ou juger. Il vous apportera son aide comme il se doit.
Évitez de garder vos sentiments pour vous seul (e) sans vouloir les avouer à son thérapeute. Ou bien, décider de fuir en arrêtant de poursuivre la thérapie. On croit qu’en agissant ainsi les sentiments finiront par disparaître. Il faut savoir que votre psychologue n’est pas un (e) Saint (e). Il/elle peut éprouver des sentiments envers un (e) patient (e). Cependant, pour question une de déontologie, il ne devrait pas dépasser certaines limites. Un bon psychologue se détachera à coup sûr de toutes les actions incompatibles avec son métier.